Les bonbons on pourrait les laisser au placard, c’est vrai (ou pas), mais pour la plupart d’entre nous, la gourmandise l’emporte souvent. Ces donneurs de sourires on en raffole. Si bien qu’aujourd’hui on va vous parler de l’histoire de KREMA et des bonbons tendres qui font sa renommée.
Les origines de la marque KREMA
Qui doit-on remercier pour cette douceur sucrée me direz-vous ? Cet honneur revient au confiseur Mollié. Ce dernier a eu la riche idée de lancer la marque KREMA caractérisée par son bonbon « au bon goût de fruit » à Vincennes en 1923.
À l’époque le slogan était : « pour vous et vos enfants, le meilleur bonbon au beurre »
Puis en 1961 c’est le coup de maître pour KREMA qui lance deux nouvelles gammes couronnées de succès.
Vous les connaissez forcément ! Il s’agit des désormais légendaires saveurs fruitées « Régal’ad » et des Batna. Lesquels sont connus pour leur goût résolument plus sauvage. On ne sait pas vous, mais entre les deux notre cœur balance !
Cette réussite permet ensuite à la marque de s’imposer comme un confiseur français incontournable.
KREMA séduit depuis près d’un siècle les amoureux de bonbons tendres et n’en finit pas d’innover.
En 2018 la marque lançait une édition limitée parfums de saisons avec printemps été et automne hiver.
Tandis qu’en 2019, elle amorce finalement le lancement de ses premiers bonbons bio avec ses Mini Cub’bio, des bonbons tendres aux bons goûts de fruits rouges ou fruits jaunes.
Un héritage encore au goût du jour
Aujourd’hui, en un mot KREMA représente 5000 tonnes de bonbons vendues chaque année. Alors oui, non seulement la marque n’a pas à rougir, mais elle a aussi su devenir gage de confiance grâce à ses bonbons aux bons goûts de fruits. Des valeurs sûres pour les petits comme les grands !
Si la marque de confiserie garde autant la pêche, KREMA le doit en partie à sa recette. Puisque l’ensemble de ses gammes de bonbons excluent la gélatine et misent sur des arômes et colorants naturels.
Depuis 2017, la marque est une filiale de la société holding Carambar & Co, qui majoritairement détenue par le fonds d’investissement français Eurazeo.