Il y a quelques jours, on célébrait le “Drink wine day“. Alors on a décidé de vous partager 10 anecdotes fort sympathiques sur le vin. Installez-vous confortablement et allez donc vous chercher un tire-bouchon pour vous ouvrir une bonne bouteille et appréciez cette lecture.
Vous prendrez bien un peu d’anecdotes sur le vin ?
- “Tchiner” nous vient du Moyen Âge où on s’assurait de mélanger tous les breuvages avant de boire. Cela afin d’être certain qu’aucun verre n’était empoisonné. Faut dire que la confiance ne régnait pas toujours.
- Savez-vous quelle quantité de raisins faut-il pour produire 1 bouteille de vin de 75cl ? La réponse est : 1 kilo tout rond !
- La Caudalie est une unité de mesure d’une seconde qui exprime la durée d’expression en bouche des arômes du vin. Le plus souvent comprise entre de 3 à 9, on dit que le vin a une bonne longueur en bouche s’il dépasse 5 Caudalie.
- Le Chambertin était le vin préféré de Napoléon. D’ailleurs, il avait pour habitude de le couper de moitié avec de l’eau. Sacrilège.
- Le liège est utilisé depuis 500 ans avant J.C pour le bouchage des bouteilles. Ça fait un bout de temps.
- À Sauternes, on produit en moyenne un verre de vin par pied de vigne, contre environ 1 bouteille par pied de vigne dans le vignoble Bordelais.
- Un collectionneur de capsules de Champagne est un “placomusophile“. Alors, vous en faîtes partie ?
- La véraison est le moment où le raisin commence à prendre la couleur qu’il aura à maturité.
- La Géorgie est considérée comme le berceau du vin. Des recherches archéologiques ont montré que la viticulture sur ce territoire remonte à 7.000 avant J.C.
La petite histoire du vignoble de Farinet
La dernière anecdote évoque l’histoire sympathique du plus petit vignoble du monde. Il se trouve en Suisse et s’appelle le vignoble de Farinet. Il ne fait que 1618 m², soit environ 4 terrains de basket.
Tout d’abord , il appartenait à Jean-Louis Barrault, acteur de cinéma qui a interprété le rôle de Farinet dans un film tiré du roman de C-F Ramuz. Ensuite, elle revint à l’Abbé Pierre qui le légua au Dalaï Lama, l’actuel propriétaire. Une sacrée passation.
Chaque année, des personnalités du sport, des arts et de la politique viennent le travailler, tels que Zinedine Zidane, Jane Birkin, Michael Schumacher, et bien d’autres.
Enfin, avec une production de 1000 bouteilles par an, tous les bénéfices sont reversés à des associations œuvrant pour les enfants. C’est donc une petite mine d’or à ne pas négliger.
Par ailleurs, n’hésitez pas à jeter un coup d’œil à notre article sur l’histoire des bouchons lyonnais. Ça donne faim mais ça vaut le coup.